




















Les investissements en mer et à terre du secteur se montent à plus d’un milliard de dollars.
Les contributions fiscales (directes et indirectes) et parafiscales sont de l’ordre de 360 millions de dhs annuellement . Elles placent nettement le segment en tant que premier contributeur au budget de l’Etat.
Le segment produit quelques 55 à 60 000 tonnes de poissons par an (dont la moitié environ de poulpe) pour une valeur moyenne à l’exportation de 600 millions de dollars représentant respectivement 5% environ de la production halieutique nationale mais 60% de la valeur des poissons exportés.
Le segment distribue annuellement 1 milliard de dhs environ en salaires dont 110 millions au titre des couvertures sociales (CNSS, Assurance, etc).
Le segment valorise beaucoup mieux la production vendue à des prix de 30 à 50% supérieurs par rapport aux autres segments.
Le segment crée des emplois directs pour quelques 8 000 cadres navigants, lauréats des instituts et écoles de formation et le triple en emplois indirects et ce, à travers les activités induites à terre (chantiers de réparation navale, entrepôts frigorifiques, unités de traitement de poisson, transport, etc.)
L’apport de la pêche hauturière sur les plans économique et social